MARC AUCLERT, CHASSEUR DE RÊVES

Avec lui, intailles romaines, talismans tibétains, ornements de sabres de samouraï deviennent bagues, colliers et boucles d’oreilles.

Le numéro 10 de la rue Castiglione est un coffre à bijoux renfermant quelqu’uns des plus beaux trésors de la place Vendôme. Bagues serties d’intailles romaines du 1er siècle avant J.C., pendentifs en menuki en or du XVIIème siècle, camées du XIXème siècle…
Petit-fils d’antiquaires, Marc Auclert a passé vingt années au service de noms prestigieux (Chanel Joaillerie, DeBeers, Sotheby’s) avant de lancer sa propre maison. « J’ai appris chez les grands, les pierres précieuses et la fabrication mais aussi les marchés et surtout les clients exigeants, à la recherche de beaux objets de connaisseurs ». Inspirée par le concept d’ « Objets Montés », imaginé à la Renaissance par les artisans qui créaient de nouvelles montures aux pierres gravées et aux objets laqués, Maison Auclert choisi de faire du bijou une œuvre d’art dont la modernité du dessin renforce l’intemporelle beauté de l’objet. Passionné d’une Histoire dont les goûts s’expriment par un artisanat millénaire, Marc Auclert célèbre la singularité de pièces qui témoignent d’un éclat éternel. Son bijou rêvé ? « Il y a au Cabinet des Médailles de la Bibliothèque Nationale une sublime intaille romaine d’aigue-marine (L’Intaille de Julie). Sa monture médiévale en saphirs et perles est magnifique. J’aimerais remonter la pierre et sa monture sur une sur-monture très moderne, pour en faire une bijou ‘3 époques’ »
Maison Auclert

Boucles d’oreilles serties de menukis (ornements de sabre de samuraï) en shakudo (alliage d’or et de

Marc Auclert Thomas Dhellemmes

Bague sertie d’une intaille en cornaline du XVIIème siècle représentant Apollon.

Maison Auclert

Bague Phénix en or.